Cinq ans après Marvel’s Spider-Man premier du nom, Peter Parker | Miles Morales sont de retour pour un second épisode en commun… Alors, deux pour le prix d’un, est-ce la recette du succès ?
Vous l’attendiez ? Eh bien voilà, notre test sur Marvel’s Spider-Man 2 est désormais disponible. La nouvelle exclusivité PS5 - attendue le 20 octobre 2023 - nous propose deux héros pour le prix d’un, nous faisant incarner Peter Parker et Miles Morales ! On retrouve d’ailleurs les araignées neuf mois après la conclusion de “Spider-Man Miles Morales” (le standalone de 2020). Au début de l’aventure, l’un comme l’autre cherche un équilibre entre vie perso | pro. Peter tente d’enseigner et Miles traîne des pieds pour son dossier d’entrée à l’université... Bien sûr, ces tracas du quotidien seront très vite balayés par l’arrivée de grands méchants. Spider-Man 2 met ainsi en scène Kraven - un chasseur à la recherche d’une proie à sa hauteur, mais également le Symbiote | Venom. Il va y avoir de l’action.
Plus hollywoodien qu’hollywoodien
L’un dans l’autre, ce second épisode se base sur la même formule que Marvel’s Spider-Man premier du nom. On trouve donc un monde ouvert, dans un New York deux fois plus grand que par le passé, des missions annexes et principales, un système pour améliorer son - ou plutôt “ses” - personnages. Bref, si vous avez adoré les précédentes aventures de Miles | Peter, vous serez comme à la maison.
Néanmoins, tout ce qui a fait le succès de l’adaptation d’Insomniac est ici amélioré… Le système de déplacement des deux héros est encore plus agréable, dynamique, avec en plus l’introduction de la wingsuit ! Plus qu’auparavant, chaque pause entre deux missions annexes donne envie de faire des acrobaties dans New York. Ça tombe bien, parce que les activités annexes ont fait un bond en avant par rapport à Marvel’s Spider-Man et Miles Morales. Dorénavant, elles sont plus fouillées - souvent à l’aide d’une toile de fond narrative - et vraiment identifiables à l’horizon. Après, ce n’est pas tout rose non plus. Dans cette suite : Insomniac a encore un peu trop recours aux “mini-jeux” et aux gameplay contextuels. Par contre, sa mise en scène fait parfois des merveilles. Notre verdict complet en vidéo.